L’été et les vacances sont une période propice aux premières fois, c’est bien connu.
L’esprit est détendu, l’école est finie, les journées s’allongent et les ados se voient offrir un semblant de liberté (j’en ai parlé aussi là), et même parfois quelques soirées entières sans leurs parents.
J’observe donc autour de moi, à la plage, sur le port ou au bal du camping, les premiers émois des garçons acnéiques et des filles hystériques.
Ces petits regards en coin, envoi du copain/de la copine en repérage (ça ne se démode pas), premiers pas maladroits, puis échange de numéros de portable et de SMS plus directs.
Jusqu’au moment crucial où l’un des deux se jette à l’eau au risque du fameux râteau pour tenter LE baiser.
Au détour d’une vague, derrière un muret ou enlacés sur ce qui ressemble encore à un slow, ce sera LE premier baiser de toute une vie, qui sera suivi de bien d’autres encore, tous différents, tous particuliers.
Malgré l’apparente décontraction des djeun’s à ce sujet (oui je sais, je suis pas si vieille mais bon, je m’entraîne), je me suis laissée dire pour y être passée que cette première incartade dans la vie intime d’autrui avait une importance non négligeable.
LE premier baiser, MON premier baiser ?
Pour ne pas avoir été spécialement informée de ce qu’il fallait faire et du risque d’avoir des enfants suite à cette communion buccale ou non, j’appréhendais pas mal ce moment.
Je l’avais imaginé pourtant, avec un garçon pour lequel j’aurais des sentiments et réciproquement : au terme d’une balade main dans la main nous nous quitterions jusqu’au lendemain sur ce baiser doux et tendre, chaud et léger, comme une promesse de nos bouches entremêlées de saisir quelque chose de l’autre rien que pour soi.
Il en a été tout autrement dans les faits.
J’avais 12 ans ½ (à cet âge ça compte), c’était un jour de premières fois : première journée chez celle qui restera ma meilleure amie d’adolescence, premier tampon pour aller à la piscine, et première « vraie » rencontre.
A la ville, j’étais une jeune fille studieuse, trop grande pour son âge, pas à la mode (ou à la mienne), assez maladroite (tout ça n’a pas beaucoup changé depuis !), portant des lunettes et de longs cheveux la plupart du temps sagement nattés.
A la piscine le vilain grand canard devenait cygne, jeune fille aux formes prometteuses, aux yeux bleus et à la chevelure de sirène.
Petit aparté : mes cheveux n’ont jamais été coupés d’un centimètre jusque l’âge de 15 ans, d’où leur longueur impressionnante et d’où ma décision de porter une coupe courte à l’âge adulte.
Bref, mon amie et moi nagions en discutant, ou plutôt l’inverse, tradition féminine s’il en est, la piscine n’étant souvent qu’un endroit de plus où l’on cause, et les longueurs n’étant envisageables que si l’on vient seule, en désespoir de cause.
Un groupe de garçons s’amusait à frimer non loin de là, avec force concours de plongeons acrobatiques et simulations de combats aquatiques.
L’un d’entre eux me regardait d’une manière insistante, et finit par venir me voir, pendant qu’un de ses acolytes faisait de même avec mon amie.
Elle avait un an de plus que moi (elle a toujours d’ailleurs) et avait déjà embrassé un garçon, elle.
Mon prétendant et moi avons fait quelque peu connaissance.
Il s’appelait Thierry, avait 17 ans et travaillait déjà. Même qu’il avait une super mobylette.
Nous avons joué au chat et à la souris, et de petites allusions en judicieux compliments, je pensais que nous passerions à l’acte en partant de la piscine, devant si possible (ben oui, avec des témoins c’est mieux pour la première fois).
Je m’en suis donc retournée aux vestiaires, prendre une douche puis chercher mes affaires.
Lorsque je suis entrée dans une cabine pour me changer (j’étais très pudique, quoi «ça a bien changé alors» ?), quelqu’un a retenu la porte et s’est glissé dedans en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Et c’est là, dans cette cabine, que j’ai découvert le baiser mouillé à rallonge et quelques caresses égarées.
Cette histoire a été sans suite, puisqu’il découvrit mon apparence au quotidien, mon jeune âge, et moi sa mauvaise réputation, ses fréquentations douteuses et son casier judiciaire.
Ce baiser fut suivi de bien d’autres, tous différents, tous particuliers, mais je m’en souviens comme si c’était hier.
Qu'en est-il du vôtre?
L’esprit est détendu, l’école est finie, les journées s’allongent et les ados se voient offrir un semblant de liberté (j’en ai parlé aussi là), et même parfois quelques soirées entières sans leurs parents.
J’observe donc autour de moi, à la plage, sur le port ou au bal du camping, les premiers émois des garçons acnéiques et des filles hystériques.
Ces petits regards en coin, envoi du copain/de la copine en repérage (ça ne se démode pas), premiers pas maladroits, puis échange de numéros de portable et de SMS plus directs.
Jusqu’au moment crucial où l’un des deux se jette à l’eau au risque du fameux râteau pour tenter LE baiser.
Au détour d’une vague, derrière un muret ou enlacés sur ce qui ressemble encore à un slow, ce sera LE premier baiser de toute une vie, qui sera suivi de bien d’autres encore, tous différents, tous particuliers.
Malgré l’apparente décontraction des djeun’s à ce sujet (oui je sais, je suis pas si vieille mais bon, je m’entraîne), je me suis laissée dire pour y être passée que cette première incartade dans la vie intime d’autrui avait une importance non négligeable.
LE premier baiser, MON premier baiser ?
Pour ne pas avoir été spécialement informée de ce qu’il fallait faire et du risque d’avoir des enfants suite à cette communion buccale ou non, j’appréhendais pas mal ce moment.
Je l’avais imaginé pourtant, avec un garçon pour lequel j’aurais des sentiments et réciproquement : au terme d’une balade main dans la main nous nous quitterions jusqu’au lendemain sur ce baiser doux et tendre, chaud et léger, comme une promesse de nos bouches entremêlées de saisir quelque chose de l’autre rien que pour soi.
Il en a été tout autrement dans les faits.
J’avais 12 ans ½ (à cet âge ça compte), c’était un jour de premières fois : première journée chez celle qui restera ma meilleure amie d’adolescence, premier tampon pour aller à la piscine, et première « vraie » rencontre.
A la ville, j’étais une jeune fille studieuse, trop grande pour son âge, pas à la mode (ou à la mienne), assez maladroite (tout ça n’a pas beaucoup changé depuis !), portant des lunettes et de longs cheveux la plupart du temps sagement nattés.
A la piscine le vilain grand canard devenait cygne, jeune fille aux formes prometteuses, aux yeux bleus et à la chevelure de sirène.
Petit aparté : mes cheveux n’ont jamais été coupés d’un centimètre jusque l’âge de 15 ans, d’où leur longueur impressionnante et d’où ma décision de porter une coupe courte à l’âge adulte.
Bref, mon amie et moi nagions en discutant, ou plutôt l’inverse, tradition féminine s’il en est, la piscine n’étant souvent qu’un endroit de plus où l’on cause, et les longueurs n’étant envisageables que si l’on vient seule, en désespoir de cause.
Un groupe de garçons s’amusait à frimer non loin de là, avec force concours de plongeons acrobatiques et simulations de combats aquatiques.
L’un d’entre eux me regardait d’une manière insistante, et finit par venir me voir, pendant qu’un de ses acolytes faisait de même avec mon amie.
Elle avait un an de plus que moi (elle a toujours d’ailleurs) et avait déjà embrassé un garçon, elle.
Mon prétendant et moi avons fait quelque peu connaissance.
Il s’appelait Thierry, avait 17 ans et travaillait déjà. Même qu’il avait une super mobylette.
Nous avons joué au chat et à la souris, et de petites allusions en judicieux compliments, je pensais que nous passerions à l’acte en partant de la piscine, devant si possible (ben oui, avec des témoins c’est mieux pour la première fois).
Je m’en suis donc retournée aux vestiaires, prendre une douche puis chercher mes affaires.
Lorsque je suis entrée dans une cabine pour me changer (j’étais très pudique, quoi «ça a bien changé alors» ?), quelqu’un a retenu la porte et s’est glissé dedans en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Et c’est là, dans cette cabine, que j’ai découvert le baiser mouillé à rallonge et quelques caresses égarées.
Cette histoire a été sans suite, puisqu’il découvrit mon apparence au quotidien, mon jeune âge, et moi sa mauvaise réputation, ses fréquentations douteuses et son casier judiciaire.
Ce baiser fut suivi de bien d’autres, tous différents, tous particuliers, mais je m’en souviens comme si c’était hier.
Qu'en est-il du vôtre?
29 commentaires:
Te raconter le mien de premier baiser ? J'avais 13 ans, c'était pendant les jeux olympiques de Montréal qu'on regardait à la télé. J'étais en colo à Villard de Lans dans l'Isère. Il faisait chaud à Paris mais les personnes âgées n'en mouraient pas. Il faisait bon à la montagne. Elle s'appelait Florence et était belle comme un coeur, c'était la petite fille de la directrice de la colo. Avec mon copain Fabrice on montait dans sa chambre, Fabrice avait flashé sur Véronique, sa cousine, et moi sur Flo. Les autres dormaient dans les dortoirs. Nous on jouait les héros au grenier aménagé en chambre des filles. Ce baiser était magique, j'avais vraiment l'impression que ma vie commençait. Et puis je me souviens surtout des conséquences physiques que ce baiser avait sur moi (ben oui...). Après la colo on a longtemps échangé des courriers (pas de sms et d'e-mails à l'"époque"). Sur ses enveloppes elle mettait plein de petits coeurs et mes parents me posaient des questions gênantes. Puis on s'est perdus de vue...
Et je pense aussi à mes baisers suivants qui furent parisiens et à Jacques Brel qui chantait :
Et le premier baiser
Volé aux Tuileries
Et c'est Paris la chance
Et le premier baiser
Reçu sous un portail
Et c'est Paris romance
c'était à un WE de prière ( ben vi j'étais chez les bonnes soeurs à l'école)et l'animateur, un bresilien nommé chico est monté dans notre dortoir...il faut dire que dans la soirée nous avions dansé une lambada de folie! et juste avant que Soeur Denise arrive avec sa lampe torche pour faire sa ronde, il m'a embrassé!!!oula c'était pas mal, même avec le recul! juste aprés, toutes mes copines sont venues me demander comment ca faisait. Ca a pas trop duré, parce que j'avais 13 ans et lui 18, et bon, on avait pas les mêmes envies humhum. mais je le revoit toujours, parce qu'on fait plus ou moins le même job, on se croise dans les reunions!!!
Bon j'me jette à l'eau...
J'avais 13 ans... et c'était dans une piscine (zut ça me rappelle quelque chose)
Faut dire qu'à l'époque, j'étais encore très gourdasse, physiquement (tite boule, pas de formes, maladroite)et mentalement... les garçons, les baisers, toussa on m'avait pas vraiment expliqué dans les détails (pas de grandes soeurs, pas de copines et ma mère était trop occupée pour m'en parler). J'étais en vacances (bah tiens) et j'allais tous les jours me baigner dans la piscine d'un camping voisin. Dans l'eau je suis très garçon manqué (plongeon, brasse coulée, défis absurdes...) et je le suis restée d'ailleurs. Donc je jouais avec un gamin de 12 ans... Il m'a embrassé dans les toilettes (romantique quoi). On est restés ensemble 5 jours, même que j'étais super amoureuse... bah oué 5 jours c'est super long !
A mon dernier jour de vacances, pour lui dire au revoir, je lui avais préparé mon adresse sur un morceau de papier. Il l'a pris l'a mis dans sa poche pis m'a dit que sa copine officielle de chez lui vient *comme par hasard* de s'installer dans le même camping. A 500 kms, et dans un bled archipaumé ou ya même pas la mer ! Bah voyons...
INDIA, si le Gaffeur lisait ça !!! que tu revois toujours ton brésilien, tu te rends compte. Ton gaffeur il risque d'avoir une dent contre Chico...
STEFIE, on t'a reconnue Loana !!!!
CARRIE ? tu dors ? ton moulin ton moulin va trop vite...
Les appareils accrochés... Alors ce n'est pas une légende urbaine ???
Pour les appareils je pensais comme Stefie :op
Bon, chaîne attrapée et j'ai mis mon récit chez les Louves http://leslouves.canalblog.com
En CE2 ou CM1 (nous ne sommes toujours pas d'accord sur l'année).
Mais elle était très jolie.
Si je raconte là, je n'aurai pas assez de place.
Et pis, avec tes notes, tu me donnes vraiment envie de recycler d'anciens textes.
@lolo : Un baiser olympique alors?
C'est quand même dingue comme 2 filles sortaient souvent avec 2 garçons copains, l'effet de masse sans doute ;-)
J'ai aussi eu un amoureux sicilien à 13 ans qui m'envoyait des lettres enflammées trempées par le parfum et qui voulait que je l'épouse, mais bon mes parents étaient pas trop d'accord!
@india : Eh ben c'est du propre! Et même pas par l'opération du saint esprit dis donc!
Ton copain Chico, dis moi, il a pas fait de la pub télé pour un opérateur mobile? Sans rire ça doit faire bizarre de le revoir, non?
@Stefie : La piscine, les vacances, les toilettes, c'est bien ce que je disais : tous les éléments étaient réunis!
Et dire qu'on a fait toute une montagne de ce premier pseudo amour à l'époque...
@lolo : Merci de faire mon secrétariat pendant que je suis indisponible, je ne sais pas ce que je ferais sans toi ;-)
@stef : Ben tu vois je le savais même pas ça. Et le coup des appareils ça m'épate, enfin moi j'ai jamais osé embrassé un mec qui en avait un, déjà que j'ai les lèvres fragiles...
Et là tu as crié : Sauvez Willy! (oui je sais c'est super minable)
@sainte ango : Je vais aller lire ça alors
@barnabé : Moi qui me croyais précoce :-p
Allez, raconte et recycle, que je vienne lire ça.
Eh, ben, moi pour mon premier baiser j'avais six ans et ce fut ma voisine de palier (10 ans) qui me montra le chemin!
Oui, oui, un vrai petit baiser sur la bouche. Inoubliable... et tendre, avec le recul du temps.
une ancienne photo me dit que mon premier baiser s'est fait dans un camping avec un petit gars du voisinage (et mon paquet de chips biensur qui ne me quittait pas!)qui devait même pas parler la même langue que moi mais bon à 5 ou 6 ans ca n'a pas d'importance, on avait quand même compris le principe des câlins!...
Le premier VRAI baiser, un type assez déprimant qui m'a tout de suite donné envie d'embrasser quelqu'un d'autre! (CarrieB, dis moi que Sébastien Q. ne lit pas ce blog! ;)
ben moi c'etait avec mon voisin, on s'embrassait à travers le grillage... hyper dangereux, fallait faire gaffe à ne pas s'arracher la langue sur le fil de fer... j'avais 7 ans.. je sais, je sais... un peu jeune pour la langue...
Ca a l'air très intéressant tout ça mais comme il est tard, je lirai ça demain.
Bonne nuit !
Coucou Alexia, tu ne m'as pas oublié... Que deviens-tu ? On s'appelle ?
@Figueres : Bienvenue officiellement pour ton premier commentaire, plein de tendresse et de nostalgie.
@Alex : Oui mais ça comptait pas au camping c'était sans la langue et qu'avec un seul coin de la bouche pas occupé à manger des chips.
Quand à S.Q., je t'avais prévenue...
@SQ : Ben voilà, il nous a retrouvé le bonhomme ;-)
Je voulais dire "je t'avais prévenue, c'est quelqu'un que tu n'allais pas oublier de sitôt"
Oups, j'ai oublié Barberine et Richard, mais où ai-je la tête? (mieux vaut ne pas savoir)
@Barberine : Ben moi mes voisines c'étaient des vaches alors on aurait pu aussi faire le coup du grillage, mais finalement non.
@Richard : Mince, fallait lire le soir parce qu'au matin tu verras que c'est beaucoup moins intéressant qu'il n'y parait!
oulala ce premier baiser , je ne suis pas prête de l'oublier parce que c'est plein de premières fois en même temps !!
le jour de mes 11 ans , j'avais eu l'autorisation de faire ma première boume ( je sais même plus comment on écrit ça !!)et le matin même , cata ..... "maman, papa au secours , quand je fais pipi , je saigne , je crois que j'ai des règles !!" et là ,ma mère qui déboule et vlan, une baffe , et elle pleure , mon père lui est parti chercher le champagne " ma fille , tu deviens une femme" !! bon ok , drôles de coutumes chez moi ... mais après m'être remise de mes émotions ,la boume arrive , et là Jean Pierre ( oui en plus il s'appelait comme mon père !!) que j'adorais , parce qu'il avait une mobylette avec une selle biplace , me faisait les yeux bleus piscine tout doux , m'attrappe dans un coin , et doucement me roule une gamelle de chez gamelle !! whaou , j'en ai été remuée pendant des semaines .... et à l'epoque , enfin tant qu'on couchait pas , les garçons , ils faisaient des baisers qui duraient des heures , c'était merveilleux , pourquoi quand on grandit , les baisers comme ça ils durent deux minutes (enfin , pas toujours mais bien les 3/4 du temps ), si quelqu'un peut m'expliquer .... moi j'adorais ces baisers d'ados ....
(attention histoire très ridicule) : moi 9 ans, elle 10, chez son cousin ; baiser très agréable et frissonnant ; en partant je l'embrasse sur les joues parce que je ne savais pas que j'avais le droit de recommencer ; elle a donc cru que je "cassai" : fin de l'histoire d'amour naissante
Le vrai Sébastien Q. saura me dire ce que veut dire "maïto la schtrötz" en patois de là où il vient!...;)
Ca fait tchatcher les histoires de langues...Alors le mien, j'avais 14 ans ( chui pas une precoce..), il s'appelait Frederic et il avait autant de taches de rousseur que moi..c'etait le plus joli baiser que j'ai reçu de toute ma vie! C'etait l'été forcement, dans un camping evidemment! Sous la tente il faisait tres chaud...Le probleme, c'est que sa petite amie dormait juste à coté...Une rousse, ça fait jamais simple!!!!
@féekabossée : T'es sûre que t'es pas plutôt une gentille sorcière? Pour sortir avec un Jean-Piètre...
Et c'est vrai qu'on devrait militer pour le retour de ces baisers à rallonge! J'en ai même eu un avec qui on se chronomètrait!
@bobzefalash : Elle est pas ridicule ton histoire, toute mignonne je dirais. Mais c'est vrai qu'à l'époque on pouvait sortir avec quelqu'un et casser en quelques minutes seulement (maintenant on attend la nuit pour filer...)
@alex : Rigole pas, c'est lui pour de vrai! Je l'ai retrouvé sur copainsdavantdalex.com
@ma rousse : Une rousse ça aime le danger alors...
Et 10, 12 ou 14 ans je ne pense pas que ça ait changé quelque chose à la suite en fait!
Très bien ton histoire de "bad boy". Moi je fais joker pour le premier car je crois que c'est un peu sordide. Je pense que je me fais coincer dans une cour de récré et qu'on me force à embrasser une mocheté. Je dis je pense car c'est une image qui m'est revenue assez récemment et je n'en maîtrise pas la réalité. (il faut ien être dans la folie des blogs pour se jeter comme ça des trucs qu'on a jamais dit). Bon, la première fois vraiment joyeuse se passe à l'étranger dans des montagnes en face d'un lac. On se cherchait depuis un moment et fi de ma timidité maladive j'y vais et là... elle s'enfuit. On se caressera encore quelques jours avant d'aller au fond des choses...
et bien non, ça ne fait pas bizzare de revoir chico parce qu'ici c'est tellement petit que quand on eu la chance d'y passer son adolescence, et bien on croise au moins un ex par jour!!et oui!!
sinon je constate quand même que la plupart de spremiers baisers c'est pendant les vacances....ce qui est tout à fait normal d'ailleurs. trop fort le coup de l'appareil dentaire!
mon 1er baiser.... un vrai baiser de cinema a vous couper le souffle!d'ailleurs j'avais tellement peur de"pas savoir faire "que j'ai pas respirer pdt les longues minutes (qui devaient etre en fait des secondes!)que ca a dure...il s'appelait Tchang un tres joli vietnamien de 17ans j'en avais 15(pas precoce moi non plus!!!)En plus d'etre joli il etait gentil,calin et drole..c'est peut-etre a cause,ou plutot grace a lui qu'apres tous mes amoureux ont ete d'un autre pays que le mien...
mon 1er baiser...un vrai baiser de cinema!a vous couper le souffle...d'ailleurs j'avais tellement peur de ne pas etre a la hauteur que je n'ai pas respirer pdt les longues minutes(qui devaient en fait etre des secondes!!)qu'a dure ce doux baiser.c'etait avec un tres joli vietnamien de 17ans j'en avais 15 (pas precoce moi non plus!)enplus il etait gentil comme un coeur drole.c'est peut etre a cause ou plutot grace a lui qu'aprestous mes amoureux ont ete d'un autre pays que le mien!...
j'arrive en retard mais c'est pas grave.
Alors moi, mon premier baiser c'était en cinquième. Il a duré 1 min. On est parti en cours. j'ai eu le temps de réver 1h30 à mon avenir prometteur avec ce sex symbol ... à la récré il a cassé. A ce moment là de sa vie, il a pas compris qu'il passait à côté de quelque chose ! ;-)
le mien ? gentil... je préfère parler de celui que je regrette de n'avoir pas échangé avec un michel, qui frimait sur sa mini moto, au lycée périer... j'ai 50 ans et je pense encore à ce si mignon garçon que je n'avais pas osé embrasser... si tu passes par là michel, on peut toujours... ;-)
Ban,mon Premier Baiser c'etait une chose Quelle Je vais pas oublie JusQu'enfin Che pas...
Ban je recommence
alors mon Premier baiser c etait avec un mec qui je rancontrais Sur Msn..on se Revoyais PresQue tous les Jours.Lui il s'appellait Stephane et il etait trop trop beau.. Pleines des belles files au tour de Lui,il avait 14ans mwa c est un an moins...
Un jour..ban non pas un jour..une soiree ou nuit comme vous voulez..
J'etais partis chez Lui,juste come ca Hemhem... et quand on etais rentre,il a commence de m'embarasser et tout,enfin j ai pensais que sa va etre juste quelques secondes..tites bizouBizou et se tous..mais non,il se posa SUr moi et il a comence d'enleve des choses ... j etais Panique mais je l ai laisse faire se qu il voulait. Alors sa duree.. il etait nue moi aussi ..on etais dans une lit et ban sa se passe.. J etais teulement Choke.Je savais pas Quoi ou comment..il a regarde sur moi et il m a embrasse encore une fois..en un instant il m a demande eske s etait on premier fois..ban j espere qu il savait bien que oui..alors j ai pas repondu j ai seulemnt regarde dans ses yeux.. Il m a touche au longeur du tout mon corps.. J etais comme une statue,rien a foute .. je l'ai connaise que comme pote et mnt se tous qui a change.Enfin j ai pensais que oui.. Alors lejour suivant j'etais venue chez lui pour prendre mon I-pod que j ai oublie de,chez lui;..et j avais une grande envie de l'embrasse(apres ce baisser j'etais amoureuse quoi) bah,..alors je m'approche de lui et kes que je vois? Une fille derriere lui,qui etait venue pour dire est ce que il revient dans a lit :o
bah,alors j'aurais compris que ca ce un mec pour qui j etais seulemnt une fille pour "une fois" comme des chips ou quoi..tu les mange et apres tu jette le paQuet...
je me présente,j'ai quatorze ans et j'ai voulus depuis longtemps rencontrer l'amour éternel...
Je suis en deuxième secondaire,cela fait longtemps que j'ai une petite touche pour un garcon plein d'humour et plein de charme,il a illuminé mon étoile,il a réchauffé mon coeur...
C'était un jeudi,il descendait les escaliers de l'école je l'ai appellé,il m'a dit de l'attendre...
nous sommes sortits par la cour il a pris mon bras m'a rapproché de lui et m'a embrassé(ou plutot m a fait un passe langue)nous avons continués notre chemin...
je n'ai jamais aimé les passes-langues mais la c'était chaleureux et doux,jamais je n'oublierés ce moment
-loic,je t'aime,j'espere que l'avenir continueras de la meilleur facon et que l'amour reste en nous..
vanseveren.s
Les gens sont bette ! Si c'est le premier baiser : embrasser même avec la langue c'est 6 ans mais le vrai baiser vous savez pas se ce c'est vous moi c'était à 12 ans (j'ai 13 ans) je lles fais une ******* de **** mais c'est choqué que vous êtes ignorant à ce point
Anomyne intelligent
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