Puisque mon blog peut être considéré par certains aspects comme un élément de psychothérapie, il me paraît indispensable de parler de mes phobies.
Je veux parler de celles créées de toutes pièces par les traumatismes télévisuels de mon enfance, qui sont peut-être aussi les vôtres si vous êtes de ma génération.
Car à l’époque, jeune lecteur-trice vingtenaire, le petit écran n’offrait que peu de possibilités : 3 chaînes, point de parabole ni même de télécommande à l’horizon.
Il y avait donc énormément de chances pour qu’un soir donné et béni d’autorisation de séance télé, toutes les familles de l’hexagone se délectent du même film.
Et ce fut le cas, à coup sûr, pour « Les dents de la mer », mon premier film-qui-fait-vraiment- peur-dans-le-ventre.
Je vous entends ricaner qu’on voyait bien que c’était un requin mécanique et que les trucages étaient à 2 balles.
N’empêche que j’étais bien jeune, que c’étaient les prémices des effets spéciaux et que le pseudo-squale en question est à l’origine de bien de mes cauchemars et d’une crainte récurrente au moment de la baignade en mer.
D’ailleurs si vous regardez avec attention pendant vos si mérités congés payés, depuis votre serviette de plage en direction de là-où-ça-mouille-salé, vous pourrez observer un phénomène étrange : Les nageurs trentenaires ne s’éloignent jamais trop du rivage et fuient les eaux profondes comme la peste ! C’est le syndrome « Jaws ».
Le sujet a largement été revisité depuis, entre les suites improbables et les déclinaisons en requins génétiquement modifiés et doués d’une intelligence supranormale.
Oui, j’ai regardé « Peur Bleue », l’autre soir : c’est ce qui a réveillé ces douloureux souvenirs et confirmé mon incompatibilité d’humeur avec cet animal.
L’autre grand choc télévisuel de mes plus jeunes années est incontestablement "La 4ème dimension ».
Pour ceux qui ne connaissent pas, « The Twilight Zone » est une série fantastique des années 60, rediffusée en l’occurrence sur la 1ère chaîne dans les années 80, où nous sommes transportés dans une autre dimension, faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits.
Je veux parler de celles créées de toutes pièces par les traumatismes télévisuels de mon enfance, qui sont peut-être aussi les vôtres si vous êtes de ma génération.
Car à l’époque, jeune lecteur-trice vingtenaire, le petit écran n’offrait que peu de possibilités : 3 chaînes, point de parabole ni même de télécommande à l’horizon.
Il y avait donc énormément de chances pour qu’un soir donné et béni d’autorisation de séance télé, toutes les familles de l’hexagone se délectent du même film.
Et ce fut le cas, à coup sûr, pour « Les dents de la mer », mon premier film-qui-fait-vraiment- peur-dans-le-ventre.
Je vous entends ricaner qu’on voyait bien que c’était un requin mécanique et que les trucages étaient à 2 balles.
N’empêche que j’étais bien jeune, que c’étaient les prémices des effets spéciaux et que le pseudo-squale en question est à l’origine de bien de mes cauchemars et d’une crainte récurrente au moment de la baignade en mer.
D’ailleurs si vous regardez avec attention pendant vos si mérités congés payés, depuis votre serviette de plage en direction de là-où-ça-mouille-salé, vous pourrez observer un phénomène étrange : Les nageurs trentenaires ne s’éloignent jamais trop du rivage et fuient les eaux profondes comme la peste ! C’est le syndrome « Jaws ».
Le sujet a largement été revisité depuis, entre les suites improbables et les déclinaisons en requins génétiquement modifiés et doués d’une intelligence supranormale.
Oui, j’ai regardé « Peur Bleue », l’autre soir : c’est ce qui a réveillé ces douloureux souvenirs et confirmé mon incompatibilité d’humeur avec cet animal.
L’autre grand choc télévisuel de mes plus jeunes années est incontestablement "La 4ème dimension ».
Pour ceux qui ne connaissent pas, « The Twilight Zone » est une série fantastique des années 60, rediffusée en l’occurrence sur la 1ère chaîne dans les années 80, où nous sommes transportés dans une autre dimension, faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits.
Chaque épisode présente un personnage qu’une situation particulière va faire basculer dans la fameuse 4ème dimension, voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination, torture psychologique significative de nos craintes les plus enfouies.
En ce qui me concerne, les épisodes « the Dummy » et « a stop at Wiloughby » m’ont marquée à tout jamais.
En ce qui me concerne, les épisodes « the Dummy » et « a stop at Wiloughby » m’ont marquée à tout jamais.
Le premier est l’histoire d’un ventriloque raté terrorisé par sa marionnette et qui finit par une inversion totale et dramatique des rôles.
Le second suit un couple qui se réveille dans une ville aussi fantôme qu’inconnue mais proprette et découvre, terrorisé et sur fond de rire d’enfant récurrent, que tout, des meubles aux arbres, y est factice.
Le second suit un couple qui se réveille dans une ville aussi fantôme qu’inconnue mais proprette et découvre, terrorisé et sur fond de rire d’enfant récurrent, que tout, des meubles aux arbres, y est factice.
En quête d'un moyen de quitter cette ville fantôme, il prennent un train qui les y ramène après un tour... pour leur plus grand effroi, jusqu'à ce que soudain, la vérité leur soit révélée.
Le couple malheureux, voit avec terreur une main gigantesque les ramasser à la descente du train...et le plan final révèle au spectateur médusé que nos protagonistes sont devenus les jouets malgré eux d'une famille extra-terrestre et pourtant en tous points ressemblant aux humains, que papa a ramené la veille d'une excursion sur Terre, en cadeau à sa petite fille...
Depuis les ventriloques et marionnettes sont bannis de mes fréquentations (assez facile à appliquer, me direz-vous), et j’ai toujours la crainte qu’une énorme main vienne secouer mon monde et m’attraper par le cou.
Allusion d’autant plus perturbatrice qu’elle constituait ma première remise en cause du nombrilisme infantile et me forçait à analyser l’univers dans sa globalité. Ben oui.
Etrangement je n’ai pas succombé à l’arachnophobie pourtant répandue, et ce n’est pas faute d’avoir vu « La veuve noire » !
En fille de la campagne, les araignées et moi cohabitons depuis toujours en bonne intelligence, surtout dans la mesure où elles se font discrètes.
En parallèle de ces expériences télévisuelles marquantes, « La petite maison dans la prairie » et « La croisière s’amuse » se sont heureusement chargées de préserver quelques illusions de bonheur parfait…
Le couple malheureux, voit avec terreur une main gigantesque les ramasser à la descente du train...et le plan final révèle au spectateur médusé que nos protagonistes sont devenus les jouets malgré eux d'une famille extra-terrestre et pourtant en tous points ressemblant aux humains, que papa a ramené la veille d'une excursion sur Terre, en cadeau à sa petite fille...
Depuis les ventriloques et marionnettes sont bannis de mes fréquentations (assez facile à appliquer, me direz-vous), et j’ai toujours la crainte qu’une énorme main vienne secouer mon monde et m’attraper par le cou.
Allusion d’autant plus perturbatrice qu’elle constituait ma première remise en cause du nombrilisme infantile et me forçait à analyser l’univers dans sa globalité. Ben oui.
Etrangement je n’ai pas succombé à l’arachnophobie pourtant répandue, et ce n’est pas faute d’avoir vu « La veuve noire » !
En fille de la campagne, les araignées et moi cohabitons depuis toujours en bonne intelligence, surtout dans la mesure où elles se font discrètes.
En parallèle de ces expériences télévisuelles marquantes, « La petite maison dans la prairie » et « La croisière s’amuse » se sont heureusement chargées de préserver quelques illusions de bonheur parfait…
"La peur ne peut se passer de l'espoir, et l'espoir de la peur"
Baruch Spinoza
24 commentaires:
Mais non, voyons, puisque les psy de tout poils vous répètent que ces spectacles permettent à l'enfant d'exorciser ses peurs...
Ce sont les mêmes sans doute qui disent que les jeux vidéo et autres empêchent le passage à l'acte, qu'il faut que l'enfant "s'exprime" et qu'une fessée peut le traumatiser à vie...
J'ai eu un collègue qui mettait - et met encore - entre 16 et 20 à tous ses élèves. Doit-on le considérer pour autant comme un bon prof ou comme un fayot ?
Toutes ces solutions de facilité me désolent.
Élever un enfant ce n’est pas tout aplanir devant lui. C’est triste à dire mais s’il ne sait pas se défendre, il se fera marcher dessus, et s’il ne respecte pas un minimum de règles de la vie en société, ce sera un exclu.
Que l’on ne me dise pas que punir, c’est la solution de facilité. À 64 ans, je suis encore hanté par des souvenirs d’épisodes où je me demande si je n’ai pas été un peu sévère vis à vis de mes enfants (42 et 37 ans et nous avons d’excellents rapports).
Il existe hélas des enfants martyrs, j’en ai croisé un certain nombre et c’est épouvantable, mais, chers psys, ne mélangeons pas tout…
PS : je vais encore me faire engueuler…
Même pas peur ! si... on a tous en effet des trucs effrayants qui remontent à l'enfance. Et, comme Martin Tupper le héros de la série Dream on, et aussi donc comme toi Carrie, j'ai été élevé devant la téloche. Moi ce qui m'a fait flippé c'était pas lié à la télé, mais j'ai vécu ma tendre enfance avec une nounou qui était concierge à Paris avenue Kléber ("Tata Marcelle") et avec qui je me balladais dans les étages. Au dernier étage, celui des chambres de bonnes, il y avait un couloir avec une porte au fond, et on m'a dit que c'était LE LOUP qui était derrière cette porte. Et j'y croyais dur comme fer. J'ai donc toujours en mémoire une vision effrayante d'un couloir pas très long avec cette porte maudite qui était peut-être un placard à balais, on ne saura jamais. Est-ce que c'est de là que me vient ce goût immodéré des films d'horreur ?
Sinon c'est vrai que les requins c'est quand même très marquant : quand tu nages dans le lagon à Moorea (l'île voisine de Tahiti, magnifique) et que tu croises (si tant est qu'à une distance de 20 mètres on puisse employer le verbe "croiser"), un bébé requin de moins d'un mètre et que la logique voudrait que ce soit le petit requinou qui flippe face au gros nageur masqué, et ben non, c'est le contraire et tu te mets à nager vite, que même tu savais pas que tu pouvais nager aussi vite. Je me suis même surpris à flipper devant un bébé requin mort sur une plage (genre : il va bouger... il est pas mort) alors...
Mais le pire à Tahiti (selon moi) c'est le cent-pieds (scolopendre). On en voit des géants dans le King Kong de Peter Jackson et leur piqûre est horrible.
Enfin, ne nous plaignons pas, on n'a pas de scorpions, de tarentules, de serpents...
Je tiens à préciser à toutes fins utiles que je n'ai pas été élevée devant la télé, bien loin de là puisque les autorisations étaient rares! C'est sans doute pour cela aussi qu'elles m'ont tant marquées.
J'ai grandi avec mes soeurs au rythme de notre imagination fertile et de celle d'une maman toujours présente et partante.
J'ai connu les fessées et, après m'être promis de ne pas l'utiliser envers mes enfants, je me suis vite rendue compte qu'elle était nécessaire quand les mots et punitions ne suffisent plus.
Je regrette souvent mes accès de colère mais les petits ne m'en tiennent jamais rigueur, au contraire dirais-je.
Par contre je n'adhère pas à cette menace d'un être maléfique imaginaire, couramment utilisée pour terroriser les enfants, et que je n'ai heureusement pas vécue.
La fessée se situe à un instant donné de colère et d'énervement, tandis que ce procédé agit sur la durée et sur un climat de peur permanent.
Et je n'irai jamais me baigner dans le lagon de Moorea, je resterai sur la plage de sable fin et me baignerai dans la piscine de l'hôtel...enfin, si j'y vais un jour!
On dit que Tahiti est "exotique", mais ici j'ai rencontré des scorpions et des serpents alors...
Qu'est-ce que nos commentaires sont longs!
ouais... nos commentaires deviennent des sous-blogs ! ou des mini-blogs-bis (ça fait moins péjoratif). Nana (rappel >> veut dire au revoir en tahitien).
Je n'ai pas non plus été élevée par la tv, tout comme toi Carrie les autorisations étaient rares.
Amusant quand tu as parlé de Twilight Zone, le premier épisode qui m'est revenu à l'esprit c'est justement celui du couple enfermé dans cette ville de poupées...
J'ai vu aussi "Les dents de la mer" mais bizarrement ma plus grosse crainte en me baignant étaient les algues abondantes de la seule mer que je connaissais à l'époque : l'Adriatique... Elle me causait une peur panique...
Depuis j'ai appris à nager, et maintenant les algues et les requins, même pu peur!
Ma première vraie expérience traumatisante et télévisuelle... je devais avoir 6 ans, et j'étais en MJC pour un arbre de Noel. Je m'ennuyais ferme, et il y avait quelques projections de films en cours... je suis entrée dans une de ces salles sombres au hasard, et je me suis délectée une bonne demie heure d'un des "Freddy"
Sinon petite fille j'étais terrorisée par l'émission "Téléchat"... bah quoi ? Un micro avec une oreille et tout le toutim ça vous fichait pas les chocottes ???
Et après on s'étonne que je vais voir des films d'horreur seule !
Tout me parait normal, d'autant que je suis persuadé qu'il y a bien des requins blancs à 30m des rivages où je me baigne.
Par contre, j'ai plongé un jour de printemps 78 devant France-Argentine et depuis, je ne m'en suis jamais remis. Mais je fais des efforts pour que ça ne se voit pas.
PS: sinon, moi c'est E.T. Je suis resté très longtemps à fixer la porte de ma chambre ayant peur qu'il entre.
punaise tu fais gamberger carrieb , et depuis ce matin je cherche, dans ma mémoire mes souvenirs televisuels ..... le premier qui me vient , c'est l'assassinat d'un petit garçon qui devait avoir mon âge à l'epoque (4ans) !!
on ne regardait pas trop la tv , trop de choses à faire dehors et pas encore de programmes interessants, alors à part le journal ( avec Leon Zitrone je crois ouarfff !! )pas de films , pas de dessins animés , que nenni !!! mais c'etait trop bien !!
et donc , je ne me souviens pas le prenom du petit garçon , mais je me souviens l'horreur racontée , il avait été violé , decoupé ..... et son assassin , ça je me souviens bien , ils l'avaient dit , et je ne l'oublierais jamais : PATRICK HENRI !!!!!
cette histoire m'a poursuivie des années et a marquée à jamais ma haine vivace envers ces monstres !!!
et puis il y a quelques années , 3 ou 4 je crois , c'est pas vieux ,lors du journal tv ( mais plus Zitrone cette fois !!) j'entends " la sortie de prison de patrick henri ce jour s'est faite dans la plus grande discretion ..... " !!!!
j'ai eu une irrepressible envie de vomir , et des flashs vieux de 30 ans !!!des douleurs dans le ventre et des larmes sur les joues !!!
tu as raison , il y a vraiment des emissions qui traumatisent nos âmes d'enfant .....
mille bises
mon 1er cauchemar dû à la télé, c'est "la belle et la bete" (vieux film avec Jean Marais je crois) : à un moment donné, on voitla métamorphose d'un bras qui se couvre de poils, brrrr
@lolo tahiti : Moi sous-blogs ça me gène pas!
@stefie : Moi aussi j'ai vu un bout de Freddy mais j'ai pas dû tout comprendre à l'époque, et pour Téléchat c'est vrai que c'était vraiment étrange cette histoire de chat plâtré, d'autruche-Lola et de gluon du trou.
Maintenant que j'y pense, Leguman et Yojik, pour ceux qui le connaissent, doivent être une seule et même personne.
@barnabé : Eteins ta télé, E.T. est dedans, pas derrière la porte
@féékabosée : Tu me fais flipper avec ton histoire
@jid : T'es sûr que c'était pas Manimal?
Jean Marais était très mignon en bête poilue je trouve ;-)
Moi aussi les dents de la mer m'ont traumatisé, et même le baptême de plongée que tu m'as offert n'y a rien changé !!
Et la 4ème dimension, je me souviens de 2 épisodes, celui avec la petite fille, et un autre ou les mannequins d'un magasin de vêtements étaient vivants !!
Mais la chose qui m'a le plus traumatisé dans mon enfance était mes visites chez mon arrière grand-mère !!
J'étais quelque peu turbulent et mon arrière grand mère me disait tout le temps :"arrête ou je te mets dans ma culotte !!" !!
C'est ça !! Riez !! mais dans sa culotte il y avait de la place pour plusieurs adultes, alors imaginez le traumatisme pour un enfant de 5 ans !!
Pour dire a quel point ça m'a traumatisé, pas plus tard que ce matin, à l'école de ma fille, une énorme maman en mini-jupe blanche monte les escaliers devant moi, et là que vois-je !! Sa culotte (string n'étant pas le mot), je n'ai une qu'une pensée et elle allait à mon arrière grand-mère !!
Tout ça pour dire que télévisuels ou non les traumatismes infantiles vous marquent à vie !!!
Ah merde.. La 4ieme dimension! l'épisode du ventriloque je m'en souviens.. source aussi de frayer mais aussi de rire, car quand je vois un ventriloque domme Rousseau et sa Madame je penses encore a cette episode et j,en ris... mais bon, ca été longtemps un rire jaune.. Mais mon premier grand effroi, je l'ai grace a Mickael Jackson et son merveilleux Thriller... Quoi que maintenant encore, il arriverait a me faire peur!
Pour te rassurer au sujet des requins, regarde la taille de son cerveau.
http://oooitai.canalblog.com/albums/vacances______3/photos/5264639-45cerveauderequin.html
Solution a l'enigme : c'est celui a gauche de la photo.
Non n'aies plus peur !
@m.carrieb : J'ai la chance de ne pas avoir connu ton arrière grand mère alors.
@iamseppuku : Mickaël Jackson, tout comme la grand mère de m.carrieb, est hors concours évidemment.
@kyaro : tu pourrais même me montrer un requin qui aide une grand mère à traverser la route que ça me ferait pas changer d'avis...
Leguman et Yojik une seule et même personne ?
Je dis non !
Quoique en y réfléchissant bien j'ai connu un temps une maîtresse d'école qui m'appelait "Cornichon".
Finalement possible que ça soit vrai.
La premiere terreur de ma vie televisuelle, c'etait " dracula ". Je l'avais vu caché sous la table du salon parceque j'avais pas le droit de regarder la tv. Depuis, des suceurs de sang j'en ai vu d'autres et meme po peur. Maintenant j'evite à mes nains la vision horrible et pathetique de TF1...
t'es folle de me remémorer cette histoire dont je me souviens que trop bien ?
Rien que d'avoir vu la tof j'en ai des frissons ..
me revoie petite et me souviens de l'histoire comme c'était hier ...
Brrrrr frissons ...
kiss by la kisseuse
@yojik : Le coup du cornichon, c'était pas un hasard...moi je dis que c'est vrai.
@ma rousse : Dracula? Je le connais juste de nom parce qu'à ce jour j'ai jamais eu le courage de le regarder. Moi idem je limite l'accès à la télé à mes petits, uniquement les zouzous sur France 5!
@athera : Désolée de raviver de vieilles douleurs enfouies, mais c'est en en parlant qu'on exorcise le mal!
c'est marrant ce post, parce que justement les dents de la mer passent ce soir sur rfo 1, l'une de nos trois chaines...c'est tellement dommage cette phobie des marrionnettes, tu ne sais pas ce que tu as loupé avec tatayé!!lol
Bon y'a eu aussi une mienne amie avec laquelle j'avais des privautés, qui m'appelait "le concombre".
Tu crois que c'est vrai aussi ?
:-)
Le rire de Fantomas a commencé à me faire cauchemarder, les dents des requins de la mer ont pris la relève ensuite c'est la musique de Psycho de Hitchkock qui m'a fait frissonner!
En fait quand on y pense si il n'y avait pas eu cette musique criarde à chaque fois qu'un aileron approchait la plage,mais la lambada, cette mâchoire pleine de dents aurait certainement été moins impressionnante!
Moi je dis si vous voulez encore avoir des cauchemars regardez "Saw 2", si toutefois vos doigts ne s'aventurent pas involontairement devant vos yeux!;-)
On a tous eu, un jour ou l'autre, un film qui nous a marqué ... quant à moi, je ne me serais jamais imaginée que les dents de la mer t'aies marquées à ce point !Et si, effectivement, tu ne t'éloignais jamais trop du rivage, loin de moi la pensée que c'était la peur d'une mauvaise rencontre avec un squale qui motivait cette hésitation ! En ce qui me concerne, ce n'est pas un film qui m'a traumatisée, mais plutôt une séquence de film. Il s'agit de King Kong. Longtemps, j'ai échafaudé des théories de fuite ou de protection si, par mésaventure, ce gros gorille s'arrêtait devant ma fenêtre de chambre...Il a hanté mes nuits durant de nombreuses années mais c'est de l'histoire ancienne.Depuis, je raffole des films fantastiques !!!
Bisou.A+
@india : C'est marrant parce que j'ai pas RFO1 ici! Et ne me parle pas de Tatayé, c'et le marionnettiste qui fait peur!
@yokik : Tu me dis si je me trompe, mais elle n'a plus l'air d'être dans les parages, cette tienne amie, alors tirons les conclusions qui s'imposent
@alex : T'as raison, avec la lambada ça le fait pas.
Et je le verrai jamais ton film "seau d'eau" d'abord
@chris...de beûrk (fallait bien que je la fasse un jour : c'est fait) : Non t'as toujours pas compris! En fait je ne m'éloignais pas du bord pour faire diversion au cas où tu te ferais enlever par une main géante et poilue (qui ne soit pas celle d'un jeune homme du sud, bien entendu)!
A Stop at Willoughby est l'histoire du gars qui s'endort dans le train et se "réveille" à Willoughby, station dont il n'avait jamais entendu parler. Sa vie est merdique et monotone...Le lendemain, il s'endort à nouveau dans le train et se retrouve à nouveau à Willoughby où tout le monde lui dit qu'il est chez lui désormais. Et l'épisode s'arrête sur un plan montrant, si je me souvient bien, un corbillard de la maison "Willoughby", arrêté au bord de la ligne de chemin de fer, à côté du train :)
Je pense que l'épisode avec le couple dans la maison factice et la ligne de chemin de fer qui revient toujours à la même gare est "Stopover in a Quiet Town (1964)", mais il y en a un autre avec un astronaute qui arrive sur mars et qui se retrouve dans une réplique de sa maison, qui en fin de compte est une cage dans un zoo martien.
Cela dit, c'est amusant car l'épisode de Willoughby est personellement celui qui m'a le plus touché...mais mois c'était celui du corbillard ;)
Merci pour ton article et les souvenirs associés.
Fabio
Eh bien Fabio, mieux vaut tard que jamais mais je suis épatée par ta culture en la matière!
Je réviserai mes classiques.
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