Un article, trois portraits croisés, 6 mains qui écrivent, plusieurs yeux qui lisent, beaucoup de sentiments.
De nos coins de planète respectifs nous voilà réunies comme autrefois, chacune ayant écrit avec son cœur, ses émotions, ses souvenirs, sur l’autre qui découvre ses mots…
« Tu es arrivée comme ça, par hasard.
On ne s’y attendait pas vraiment et, du coup, tu m’as, d’emblée, placée à la tête d’une fratrie dont il fallait que je sois absolument l’exemple.
Je me rappelle d’une petite blonde, toute frisottée avec de grands yeux bleus qui faisaient craquer tous ceux qu’elle croisait.
On aurait pu partager des tas de trucs de filles, mais hélas, j’étais un garçon manqué...
J’aurais pu être ton "chaperon"’ lors de nos sorties, mais hélas, éloignement oblige, CarrieB a du prendre le relais.
Complices de toujours, vous me tendiez régulièrement des pièges qui m’ont parfois valu de passer de très mauvaises soirées en tête à tête avec nos parents.
Tu t’amusais : c’était de ton âge, et tu me relatais régulièrement les bêtises et les nombreux sévices que tu infligeais à ceux qui ne partageaient pas ton point de vue.
Bonne élève, étudiante assidue, nos parents n’ont jamais eu quoi que ce soit à redire.
Adolescente, tu n’as jamais fait de vagues, jusqu’au jour fatidique où j’ai bien failli te perdre… jeune permis, une voiture, un virage, un arbre … et, au final, plus de peur que de mal, fort heureusement.
Et puis, un jour pas fait comme un autre, ton existence a pris un nouveau tournant : tu rencontres ton prince charmant.
Tu prends la décision la plus importante de ta vie et décide de t’envoler vers d’autres cieux en laissant famille et amis sur place.
Tu accomplis le rêve de chacun d’entre nous à force de volonté et d’obstination.
Aujourd’hui, je suis encore admirative et très fière de la jeune femme que tu es devenue : la petite bouille blonde a réussi à s’imposer et à se faire apprécier de tous.
Le dernier mousquetaire est devenu un exemple.
On a souvent croisé le fer toutes les trois mais, quoi qu’il arrive, nous serons toujours solidaires.»
« Avide de découvrir la vie et ses richesses tu coches activement les cases de ta liste des 100 choses à vivre avant que toi et tes dents ne dormiez plus ensemble.
Coquette et intrépide, si tu dois sauter en parachute ça sera avec des vêtements assortis et un ricil impeccable.
Mais la jouissance de ces divertissements périlleux dont tu es partisane a des limites car quelques traits obsessionnels enveniment malgré toi ton esprit aventureux.
Victime d’un esclavage robotique, le summum de la folie c’est pas de te rouler nue dans la neige ou encore de te percer la peau.
C’est faire la guerre à ton aspirateur, porter les mêmes habits 3 jours d’affilée et ne pas classer tes vêtements par pile de couleurs.
S’ils avaient des noms, ils seraient probablement rangés par ordre alphabétique dans ton armoire.
Quand même les chaussettes de la garde-robe connaissent la chaude caresse du fer à repasser on peut bien parler d’obsession maladive, de perfectionnisme.
Prévoyante et consciencieuse, tu fais partie de ceux qui vont au garage avant l'accident, chez le dentiste avant la rage de dent, tes enfants ne partiront pas à l'école sans un mouchoir en poche ou sans un goûter dans le sac.
Une journée planifiée qui ne se passe pas comme prévu te rendra aisément anxieuse.
Du rouge à lèvres sur les dents ou une épice oubliée dans le gratin de la veille te met dans le même état de panique qu’un dossier non bouclé rendu en retard.
Ton cauchemar c'est partir au boulot en chaussons pas maquillée dans une voiture qui tombe en panne à mi-chemin sans téléphone portable.
Tes glandes lacrymales ont la gâchette sensible et te trahissent cruellement dans ces moments d'incertitudes.
Ton enthousiasme, ton esprit créatif et ton talent s'ajoutent à ton sourire rayonnant et constituent les ingrédients vitaux pour atteindre tes objectifs.
Généreuse, spontanée et légèrement impulsive, l'originalité d'un sac à main sait te faire tourner la tête.
En plus d'être le Zapatta de la famille, douée pour l'improvisation et amuser la galerie tu as l'art de jongler avec les mots, de dompter les expressions et tu nous comble de tes acrobaties syntaxiques.
Ambitieuse raisonnable à tendance hyperactive, tu passes une partie de ton temps à vouloir être là où tu n'as pas le temps d'être. »
« De 4 ans mon aînée, c’est tout naturellement que je t’ai prise en exemple pendant mes jeunes années.
Sérieuse et plutôt introvertie, à l’inverse de mes loufoqueries quotidiennes, tu me traînais pourtant dans bien des premières fois, parfois de ton plein gré mais plus souvent contrainte et forcée !
Quoi qu’il en soit, tu m’as acceptée dans ce monde de « grands » qui n’était pas le mien.
J’étais fière d’être à tes côtés, fière d’être ta petite sœur, de partager, de m’identifier, d’imiter.
Tu traçais le chemin et je te suivais les yeux fermés, sourire aux lèvres, cheveux aux vent.
Premiers jeux, premières sorties, premiers émois, premières bêtises, nous sommes allées jusqu’à commettre la même étrange erreur de choix dans nos vies personnelles par la suite.
Notre vie amoureuse était souvent synchronisée, mais nous ne nous sommes jamais battues le même garçon.
Tu les aimais grands, mystérieux, doux et rassurants, quand je les cherchais originaux, drôles et passionnés.
Nous discutions longuement, écoutions la même musique, mais finissions toujours par nous chamailler et moi par regagner ma chambre par des chemins glissants.
Mais inlassablement je revenais, incapable de t’en vouloir, incapable d’être loin de toi.
Tu pleurais sur les photos, collectionnais papiers de chewing gums et paquets de cigarettes vides, t’extasiais devant des dinosaures et je ne te comprenais pas.
Tu cachais ton corps sous des vêtements masculins et sombres et je ne te comprenais pas.
Tu m’as témoigné ta confiance, promue marraine d’un déjà trop grand garçon, et tata d’une chipie aux grands yeux ébahis et là je t’ai compris.
Tu veux voir le verre à moitié plein là où je ne le vois qu’à peine rempli, tu mets un point d’honneur à vivre tes espoirs jusqu’au bout et ne pas décider tant que tu n’es pas sûre.
Nos caractères, que tout a toujours opposé, se sont ainsi accommodés et complétés, même si j’aurais tendance à vouloir inverser les rôles et te protéger à ma manière, pas toujours la plus habile, souvent tourmentée de ne pas pouvoir te donner cette force qui parfois te manque… »
Et puis, un jour pas fait comme un autre, ton existence a pris un nouveau tournant : tu rencontres ton prince charmant.
Tu prends la décision la plus importante de ta vie et décide de t’envoler vers d’autres cieux en laissant famille et amis sur place.
Tu accomplis le rêve de chacun d’entre nous à force de volonté et d’obstination.
Aujourd’hui, je suis encore admirative et très fière de la jeune femme que tu es devenue : la petite bouille blonde a réussi à s’imposer et à se faire apprécier de tous.
Le dernier mousquetaire est devenu un exemple.
On a souvent croisé le fer toutes les trois mais, quoi qu’il arrive, nous serons toujours solidaires.»
« Avide de découvrir la vie et ses richesses tu coches activement les cases de ta liste des 100 choses à vivre avant que toi et tes dents ne dormiez plus ensemble.
Coquette et intrépide, si tu dois sauter en parachute ça sera avec des vêtements assortis et un ricil impeccable.
Mais la jouissance de ces divertissements périlleux dont tu es partisane a des limites car quelques traits obsessionnels enveniment malgré toi ton esprit aventureux.
Victime d’un esclavage robotique, le summum de la folie c’est pas de te rouler nue dans la neige ou encore de te percer la peau.
C’est faire la guerre à ton aspirateur, porter les mêmes habits 3 jours d’affilée et ne pas classer tes vêtements par pile de couleurs.
S’ils avaient des noms, ils seraient probablement rangés par ordre alphabétique dans ton armoire.
Quand même les chaussettes de la garde-robe connaissent la chaude caresse du fer à repasser on peut bien parler d’obsession maladive, de perfectionnisme.
Prévoyante et consciencieuse, tu fais partie de ceux qui vont au garage avant l'accident, chez le dentiste avant la rage de dent, tes enfants ne partiront pas à l'école sans un mouchoir en poche ou sans un goûter dans le sac.
Une journée planifiée qui ne se passe pas comme prévu te rendra aisément anxieuse.
Du rouge à lèvres sur les dents ou une épice oubliée dans le gratin de la veille te met dans le même état de panique qu’un dossier non bouclé rendu en retard.
Ton cauchemar c'est partir au boulot en chaussons pas maquillée dans une voiture qui tombe en panne à mi-chemin sans téléphone portable.
Tes glandes lacrymales ont la gâchette sensible et te trahissent cruellement dans ces moments d'incertitudes.
Ton enthousiasme, ton esprit créatif et ton talent s'ajoutent à ton sourire rayonnant et constituent les ingrédients vitaux pour atteindre tes objectifs.
Généreuse, spontanée et légèrement impulsive, l'originalité d'un sac à main sait te faire tourner la tête.
En plus d'être le Zapatta de la famille, douée pour l'improvisation et amuser la galerie tu as l'art de jongler avec les mots, de dompter les expressions et tu nous comble de tes acrobaties syntaxiques.
Ambitieuse raisonnable à tendance hyperactive, tu passes une partie de ton temps à vouloir être là où tu n'as pas le temps d'être. »
« De 4 ans mon aînée, c’est tout naturellement que je t’ai prise en exemple pendant mes jeunes années.
Sérieuse et plutôt introvertie, à l’inverse de mes loufoqueries quotidiennes, tu me traînais pourtant dans bien des premières fois, parfois de ton plein gré mais plus souvent contrainte et forcée !
Quoi qu’il en soit, tu m’as acceptée dans ce monde de « grands » qui n’était pas le mien.
J’étais fière d’être à tes côtés, fière d’être ta petite sœur, de partager, de m’identifier, d’imiter.
Tu traçais le chemin et je te suivais les yeux fermés, sourire aux lèvres, cheveux aux vent.
Premiers jeux, premières sorties, premiers émois, premières bêtises, nous sommes allées jusqu’à commettre la même étrange erreur de choix dans nos vies personnelles par la suite.
Notre vie amoureuse était souvent synchronisée, mais nous ne nous sommes jamais battues le même garçon.
Tu les aimais grands, mystérieux, doux et rassurants, quand je les cherchais originaux, drôles et passionnés.
Nous discutions longuement, écoutions la même musique, mais finissions toujours par nous chamailler et moi par regagner ma chambre par des chemins glissants.
Mais inlassablement je revenais, incapable de t’en vouloir, incapable d’être loin de toi.
Tu pleurais sur les photos, collectionnais papiers de chewing gums et paquets de cigarettes vides, t’extasiais devant des dinosaures et je ne te comprenais pas.
Tu cachais ton corps sous des vêtements masculins et sombres et je ne te comprenais pas.
Tu m’as témoigné ta confiance, promue marraine d’un déjà trop grand garçon, et tata d’une chipie aux grands yeux ébahis et là je t’ai compris.
Tu veux voir le verre à moitié plein là où je ne le vois qu’à peine rempli, tu mets un point d’honneur à vivre tes espoirs jusqu’au bout et ne pas décider tant que tu n’es pas sûre.
Nos caractères, que tout a toujours opposé, se sont ainsi accommodés et complétés, même si j’aurais tendance à vouloir inverser les rôles et te protéger à ma manière, pas toujours la plus habile, souvent tourmentée de ne pas pouvoir te donner cette force qui parfois te manque… »
A mes sœurs, avec tout mon amour
21 commentaires:
Pour le lecteur Lambda que je suis (oui c'est mon vrai patronyme Lolo Lambda... c'est une grande famille aussi les Lambda...), qui ne vous connait pas toutes les trois, on sent, à travers ce post croisé et original, beaucoup d'émotion et d'amour.
Vous m'avez l'air de former une bien jolie sororité mesdemoiselles...
Les deux autres soeurs ont-elle un blog ? si oui l'adresse vite....
Apparemment il y avait un encrier près de vos berceaux, vous êtes toutes tombées dedans on dirait... (ben oui même si vous êtes très jeunes, je pense que vous avez quand même appris à écrire au stylo plume ou au ball pentel...)
Et ouais y'a des jours où on aimerait bien ne pas être fils unique !
Bravo, encore une jolie pépite dans le trésor de ce blog.
Qu'il est bon d'arrêter le temps pour un instant et de se dire ces mots enfouis en soi, de dire : "je t'aime" aux êtres que l'on chérit.
vous savez les sisters , votre post à 6 mains me fait penser à cet ouvrage "Lettres à Théo" qui retrace la correspondance entre les 2 frères Van Gogh .
Ils expriment leurs différences ,leur amour , le lien entre eux , j'ai adoré ce livre plus jeune et votre article me donne vraiment envie de le relire .
vous maniez l'art de la plume avec adresse , Carrie, le sais , je ne lui dit plus sinon elle rougit , mais à vous les soeurs , je peux le dire , vous lire en ce dimanche doux et calme a été un réel plaisir .
Alors comme Lolo ,je suis gourmande, et serait ravie de découvrir les autres blogs des soeurs Brönté .......
horreur , malheur .....
Carrie le sait avec un T bien sûr comme dans vélo !!!!
Que d'amour, en effet entre vous trois. Comme Lolo tahiti, je regrette encore une fois d'avoir été fille unique.
@lolo : Je suis contente alors si la famille lambda a pu saisir l'émotion de nos lignes.
Disons que nous avons partagé de longues heures ensemble dans les rayonnages des bibiliothèques et que nous avons toutes 3 une formation de base littéraire, ça aide!
Et nous avons également connu le porte plume, oui monsieur, nous sommes nées dans un tout petit village ou l'apprentissage de l'écriture se fait aussi par l'approche plume-encrier-pâté...
Enfin, pour le blog de ma petite soeur, c'est http://finlandssecrets.unblog.fr//
Et ma grande soeur, ben elle n'en a pas encore, mais peut-être que si vous insistez...
@figueres : Ca prend souvent de nombreuses années, mais ce n'est pas parce qu'on ne se le dit pas qu'on ne le pense pas, c'est une question de personnalité et de manière d'exprimer ses entiments.
@Stef : Ben oui, de l'amour, et toi tu es un peu comme ma 3ème soeur tu le sais bien, t'as même eu un post à toi toute seule ;-)
@ma fée : Je ne connais pas "Lettres à Théo", mais je vais essayer de réparer ça!
Et pour mes soeurs, vois la réponse à Lolo, oui elles écrivent bien!
@Tanette : J'ai du mal à imaginer ce qu'aurait été ma vie sans elles, sans doute plus fade et je suis heureuse de les avoir, même à 500 et 2500 km...
Trois soeurs ça fait 6 mains.
Quand je pense à tout le ménage que vous pourriez faire chez moi, ça me laisse rêveur !
Je n'aurais qu'une seule chose à dire...
C'est très beau, j'en ai les larmes aux yeux...
C'est la première fois que je passe ici, et je ne le regrette pas.
Yojik: il se trouve que la petite dernière n'a pas l'aspirateur qui la démange ou la serpillère facile…le gêne héréditaire s'est essoufflé après la deuxième et m'a doté d'une grande tolérance du bordel alors oui j'suis partante pour une petit séance ménage chez toi, ca sera loin de ressembler à une page d'un catalogue Ikea! ;)
Lolo tahiti: tout va bien au "fenua"? quel soulagement de n'être tombée que dans l'encrier…quelques mètres de plus et c'était le verre où flottaient les fausses dents du papy près du lit et on en serait ressorties aussi sales…beurkkk ;)
CarrieB: t'as aussi oublié de dire qu'on était des inconditionnelles de la dictée de Bernard Pivot, que le buvard sous la main à l'école était de mise et que le bled (non pas le mot de jargon mais le Bled meilleur ami de l'orthographe et de la grammaire!) était notre livre de chevet!
Que d'émotions à la lecture de cet article, découvrir tous ces sentiments qu'on éprouve les unes pour les autres sans jamais vraiment se les être avoué de vive voix…moi aussi je vous aime sœurettes
Quelle interactivité ! Alexia me demande si tout va bien "au fenua".... mais d'où connais-tu ce terme ? tout va bien... tout va bien... y'en aurait à dire... Non mais comment connais-tu le mot "fenua" (pour les autres qui nous lisent c'est le mot tahitien qui veut dire "territoire", "terre", "pays") ?
En plus les frangines elles sont polyglottes !
En fait vous ne seriez pas extra-terrestres plutôt ?
...ça expliquerait beaucoup de choses...
Je ne vais pas te faire encore des compliments, j'ne voudrais pas que tu aies des problèmes de chevilles... mais je n'en pense pas moins... c'est très beau.
Nous étions trois filles et un garçon mais je n'ai jamais connu cette complicité entre nous. J'ai 15 ans d'écart avec ma soeur aînée, elle s'est mariée à 18 ans ce qui fait que pendant longtemps je l'ai plus considérée comme une tatie qu'une soeur et aujourd'hui comme une mère surtout depuis que la nôtre est décédée.
C'est le problème de la différence d'âge entre frères et soeurs, j'ai moi-même fait deux générations d'enfants, et il n'y a pas la même complicité entre les deux premiers (36 et 33 ans) et les deux derniers (22 et 19 ans)et je trouve que c'est dommage.
lolo tahiti: Maita'i oe? E parau Tahiti ri'i au... pendant mes heures perdues...
nan, en fait je connais une personne qui a vécu là bas et c'est de là que je connais le terme;)
@Stef : "Soeur de coeur", c'est joli, oui c'est ça!
@yojik : Mes talents féedulogiesques ne dépassent pas le cadre de ma maison, j'ai d'autres ambitions dans la vie que de les appliquer aux autres :-)
@catastrophe : Je n'aurai que 3 choses à dire : 1.bienvenue, 2.merci, et 3.je n'ose même pas imaginer pourquoi tu as choisi ce pseudo
@alex : Merci pour toutes ces précisions, et on a bien fait de faire cet article, hein dis?
Tiens ça me fait penser qu'il en manque une au bataillon dans les comms...
@lolo : On est poly-plein de choses, tu sais.
Extra-terrestres? Qui sait?
@shygefe : Encore merci, il y a des hauts et des bas dans notre relation bien sûr, mais le fait que notre famille se résume à nous et nos parents nous fait relativiser!
@alex : Tu crois pas que le russe serait plus judicieux?
Non parce que des tahitiens ça court pas les rues en Finlande quand même ;-p
Deux frères ! Pas un seul qui n'aime la plume mais les deux ont la parole douce et humoureuse...ton post me fait penser qu'ils me manquent ces deux là !
bon alors là rassurez-moi tous, j'ai peut-être loupé un épisode des termes à la mode chez nous mais "une parole humoureuse" c'est ce que disent les d'jeuns de nos jours ou c'est simplement que Sardine n'est pas copain avec la plume non plus?
CarrieB: mais...où est donc cette troisième soeur qui a eu peur de me perdre après cette relation difficile avec mon platane?
que voilà un bel hommage que de mettre ce billet, hommage à ce que peut être la famille, ce que peuvent ressentir des soeurs...merci
LOLO TAHITI a pensé, LOLO TAHITI a pensé... à te souhaiter un....
... J O Y E U X A N N I V E R S A I R E !!!
Quelques sécondes plus tard je viens te souhaiter un très BON ANNIVERSAIRE.
"Que 30 años no es nada..." et mon voeu pour des milliards de sécondes de bonheur.
ZOYEUNANNIVERSAIRE SOEURETTE, je t'aime trés fort mais tu le sais déjà!
...y'a une certaine Chris de burg qui se fait désirer sur ce blog, allez...tu peux pas être SI occupée!;)
@sardine : Les frères, les soeurs, même combat!
@alex : Humoureuse, j'aime bien moi, on peut inventer des mots quand ils sont jolis!
Et la 3ème m'a envoyé un texto pour me dire qu'elle avait apprècié...
@muse : Merci, ce sont des compliments qui me et nous vont droit au coeur
@lolo : Toi, oh toi...tu sais que tu es fou, n'est-ce pas?
Merci merci merci
@figueres : Dans la catégorie des fous chers à mon coeur...
Merci merci merci
@alexia : Moi aussi je t'aime très fort et tu le sais déjà.
Merci merci merci!
j'ai lu et relu cet article et, à chaque fois, les larmes me montent aux yeux...C'est trop tout plein d'émotions ! Et on a parfois du mal a mettre des mots sur ces émotions...Voilà pourquoi j'ai gardé si longtemps le silence ... Félicitations à vous deux, mes soeurettes, je suis fière de vous !
Enregistrer un commentaire